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Les résolutions institutionnelles soutenant la cause
des enfants ukrainiens déportés en Russie

Le parlement européen, l'Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil européen et l'Assemblée Parlementairese sont emparés de la cause des enfants ukrainiens déplacés de force par la Fédération de Russie, qui est l'une des plus explosives de la guerre, mais aussi l'une des moins mentionnées.
 
Nous avons engagé le dialogue avec des responsables politiques français et européens, afin de renforcer l’urgence de la cause des enfants dans les textes législatifs, notamment lors de la résolution du Parlement européen de septembre 2022, de la résolution de l’Assemblée nationale en novembre 2022,  ou encore la résolution européenne adoptée en avril 2023.

Le Conseil de l'Europe et les gouvernements européens doivent exiger de la Fédération de Russie le retour de tous les enfants ukrainiens déportés depuis 2014.

« Une déportation massive d’enfants » en Russie, dénonce une association

 

19.000 enfants ont été identifiés jusqu’ici, mais le chiffre est certainement beaucoup plus élevé. Face à la situation, le Sénat a organisé un débat sur leur retour. C’est un acte « constitutif d’un crime de génocide », souligne Pierre Raiman de l’association « Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ».

Ils ont été déportés par divers biais vers la fédération de Russie depuis les zones occupées par l’armée russe. Ils ont été déportés sur ordre du président Vladimir Poutine et de la commissaire soi-disant aux droits de l’enfant, Maria Lvova-Belova, avec le concours de l’armée russe, donc avec une intervention constante de l’Etat dans ces déportations.

« Pour faire suite, nous avons eu un débat où de manière unanime, nous avons exposé notre révolte. C’est absolument indicible. La guerre, c’est une chose, c’est horrible, mais arracher des enfants de cette manière, c’est quelque chose d’insupportable », dénonce la sénatrice Sollogoub

 

« On est en train de parler de paix, mais après la paix viendra la justice. Et il faudra absolument que ces crimes soient qualifiés pour ce qu’ils sont : un génocide. Et l’urgence, c’est que ça cesse tout de suite », soutient Nadia Sollogoub, qui ajoute que « selon les informations qui (lui) reviennent, ça continue actuellement. Il faudra ensuite pouvoir localiser ces enfants et organiser leur retour. Là, il faut que toute la communauté internationale soit la voix de ces enfants ukrainiens, que pas un seul ne soit oublié ».

LISTE DE L'ENSEMBLE DES RÉSOLUTIONS ET MÉCANISMES INSTITUTIONNELS ADOPTÉS EN FRANCE ET EN EUROPE

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