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Poutine veut écraser l'Ukraine et disloquer l'Europe_pourlukraine_pourlukraine.com_ copy.j

Conférence de presse 20 février 2024

Guillaume Ancel,  ancien officier supérieur et chroniqueur ;

André Gattolin, universitaire, ancien sénateur ;

Alexandre Melnik, ancien diplomate, expert-consultant en géopolitique ;

Alla Poédie, présidente du Business Club franco-ukrainien ;

Patrick Pugès, polytechnicien, Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre !

Nicolas Tenzer, géopolitiste, enseignant à Sciences Po Paris ;

 

Quelle est la situation en Ukraine et en Russie ?

À quelles conditions l’Ukraine peut-elle gagner ?

Pourquoi et comment la France peut-elle faire bien plus ?`

Pourquoi un cessez-le feu ferait le jeu de Poutine ?

Comment réfuter les arguments des pseudo-réalistes ?

Que doit faire l’Europe (dès maintenant et avant les élections américaines) ?

Comment faire prendre conscience à nos concitoyens du danger auquel nous faisons face ?

Comment financer l’aide à l’Ukraine ?

Comment agir ensemble pour la victoire de l'Ukraine ?

1ère rencontre signataires de l'Appel  22 février 2024

A la suite de notre tribune, « Il nous faut augmenter considérablement la production et la livraison d’armes françaises à l’Ukraine » (Le Monde du 31/01/2024), le 22 février, un forum en ligne a permis à 400 personnes de débattre avec

Alexandre MELNIK, ancien diplomate, professeur de géopolitique, André GATTOLIN, ancien parlementaire,

Nicolas TENZER, chercheur en géopolitique, enseignant à Sciences Po Paris,

Guillaume ANCEL, Colonel de réserve, auteur du blog Ne pas subir,

Patrick PUGES, polytechnicien, membre du bureau de Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre ,

Frédéric ORAIN, historien, enseignant, élu local,

Alla POEDIE, consultante internationale.

 

Débat animé par Pierre RAIMAN, historien, fondateur de Pour l’Ukraine, pour leur liberté et la nôtre !

 

Retrouvez notre tribune parue dans Le Monde le 31 janvier 2024 et la liste des signataires : https://www.pourlukraine.com/post/davantage-armes-francaises

 

#ukraine #ukrainevictory #russiaukrainewar

Armons massivement l’Ukraine :
notre avenir en dépend !

L’invasion russe de l’Ukraine engage notre futur. C’est la démocratie que veut détruire, partout dans le monde, la Fédération de Russie qui mène en Ukraine une guerre impérialiste. Comme le montrent les déportations de dizaines de milliers d’enfants, l’agression terroriste du régime de Poutine vise à effacer l’identité et l’existence même des Ukrainiens. Il ne s'agit pas d'une guerre entre deux États mais entre deux systèmes ─ le totalitarisme et la démocratie ─ et entre deux avenirs : la soumission des peuples à la dictature russe ou la liberté de l’Europe dont Kyiv est le symbole. Parce que c’est à nos valeurs et à notre liberté que Poutine fait la guerre, seule la victoire de l’Ukraine garantira la paix en Europe.

Les grandes puissances européennes ont trop longtemps refusé de voir la réalité. La dictature totalitaire de Vladimir Poutine nous menace et n’a eu de cesse de s’en prendre à la liberté des peuples. En France, la Russie n’a cessé de mener des politiques hostiles à nos institutions, comme l’illustrent la tentative d’influencer le second tour des élections présidentielles de 2017, les cyberattaques d’hôpitaux et le déferlement de fake news par des hackers du Kremlin en France et en Afrique.

 

Si l’Ukraine ne sort pas victorieuse de cette guerre d’agression, si l’armée des violeurs et des tortionnaires n’est pas mise en déroute, un conflit gelé par la cession de certains territoires permettra à Poutine de se renforcer en préparant avec des armes nouvelles, un nouvel assaut. Il faudra alors envisager de nous battre pour Chisinau et Tbilissi, avant Riga, Tallinn, Vilnius et Varsovie, dans une guerre autrement plus lourde de conséquences, impliquant les forces de l’OTAN et affectant la vie quotidienne de tous les citoyens européens.

Nous affirmons que la défaite de l’agresseur russe, permettant à l’Ukraine de retrouver ses frontières internationalement reconnues, est l’unique solution. La plus juste, la plus raisonnable et la seule « réaliste » car, n’en déplaise aux tenants de la Realpolitik, le régime de Poutine n’a jamais cédé qu’à la force.

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