Ces viols, qui ont commencé dès 2014, se chiffrent par milliers, touchant majoritairement les femmes, mais également les enfants et les hommes, civils ou militaires toujours détenus dans les prisons russes. Ces crimes contre l’humanité sont pourtant jusqu'à présent les moins couverts de la guerre russe contre l'Ukraine.
En collaboration avec l'association ukrainienne SEMA, l'ADDP et le Centre for Civil Liberties, notre conférence de presse a contribué à alerter sur le viol des Ukrainiens et Ukrainiennes en tant que composante génocidaire.